Le début de la Fin.

Trok et son fidèle unggoy, qui s'était un peu plus tôt séparé de l'autre extraterrestre, se battaient maintenant avec un groupe d'humain. Et oui! Trok devait maintenant se battre avec une race nettement inférieur. Ses confrères riraient de lui s'ils le voyaient, mais l'important maintenant, pour n'importe qui ici, c'était de survivre. Trok était encore plus affaiblie qu'avant. L'élite peinait à se battre.

Il faisait maintenant face à un groupe de parasite qui comme les centaines d'autres s'attaquaient à n'importe qui. L'élite en transperça un de son épée et se remit par la suite en position de combat. Les chants de bataille avaient maintenant laisser la place à des grognements de lamentations. Il en aurait plus pour longtemps, il en avait conscience, mais la bataille continuait. Son père lui avait dit un jour que mourir sur un champ de bataille était la meilleur mort qu'un membre d'une race aussi noble que celle qu'il faisait partie pouvait avoir.

Rarap, lui, tirait sur des parasites avec des humains. Il éprouvait un sentiment nouveau pour lui: l'appréciation. Les humains semblaient encourager et non menacé le unggoys.

Alors que tout les parasites semblaient mort, l'oracle apparut et parla aux covenants. Et puis, un grand flash apparut.

Trok se réveilla aux côtés d'autres élites. Il ne se rappelait plus des évènements qui venaient de se produire. L'élite leva la tête et remarqua qu'ils étaient sur sa planète natale et lorsqu'il tenta de se lever, une vive douleur le fit se recoucher. Puis, il remarqua la disparition de Rarap, mais où était-il?

Il regarda son corps presque mutilé. Quelques compatriotes le soulevèrent et l'amenèrent à l'infirmerie pour le soigner.

L'élite avait passé à quelques minutes de la mort, mais il s'en sortirait. Le rétablissement serait long et pénible, mais il s'en remettrait...

Miller était sortit vivant, mais toujours avec cette présence intérieure. Il se retrouva face à un combat immense, épique. Les forces covenants se battaient en coopérations avec les humains face aux forces parasites qui étaient très nombreuse.
Il fonça dans le combat, M6C à la main. Il tira ses dernières cartouches sur un parasites et se retrouva sans munitions. Un gros parasite était en train de foncer sur lui. Miller s'apprêta au corps à corps. Alors qu'il allait commencer à frapper, un covenants sauta sur l'ennemi et l'acheva de sa lame. Miller lui fit un sourire, et se releva. Il vit alors un parasite combattant foncer dans le dos de son sauveur. Il dégaina alors son couteau et le jeta sur le parasite qui se prit la lame entre les yeux.
C'était bon de combattre avec ses ennemis, excitant. Soudain, il tomba à genoux, ses poings se serrèrent et un cri inhumain sortit du fond de sa gorge. Un cri déchiré, éraillé, long. Miller se reprit et se rendait compte de la situation. Le parasite le gagnait, il ne survivrait pas.
Plusieurs soldats le regardaient, mais il se releva comme si de rien n'était. Le combat dura longtemps. Quand toutes les forces parasites fut tuées, Miller fut ébloui par un grand flash. Quand il rouvrit les yeux, plus de covenants. De la magie noire, ou une autre saloperie.

-Et que faisons nous maintenant ?
-Activer l’anneau bien entendu ! Disait la bouboule, toute riante.
-Pardon ?!!

Miller s'essuya le sang sur sa bouche et avança vers la bouboule qui vo-vole.

-Toi, la jukebox ambulante tu n'as pas compris. On ne veut pas CREVER ici pour éradiquer le parasite. Moi je vous le laisse, et on se barre.

Plus loin, Daru Kol appelait le Ravage, et les autres vaisseaux qu'ils avaient laissés. Miller faisait monter tous les soldats survivants dans les derniers pélicans. La boule marrante s'approcha de lui et lui dit :

-Vous êtes infectés, vous mourrez de toutes façons.

Miller observa les dernier gugus avec des armures monter dans les navions. Il dit ensuite à la testicule volante et métallisée :

-Allez au diable, saloperie.
-Dans ce cas, je n'ai pas d'autre choix que de vous tuer. Désolé dépositaire.

Instinctivement, Miller se jeta à terre. La couille-qui-vole appela des machins qui volent. Les pélicans autour se mirent à tirer. Miller se jeta dans le pélican. il transpirait, il était malade. La porte arrière du pélican surchargé se ferma, et le mitrailleur s'amusa à défoncer le cul des machins volants. Il était surement gay.
Miller s'assit péniblement sur un des sièges. Il enfoui son visage dans ses mains. Il tremblait, il transpirait. D'ailleurs ca sentait bon, l'odeur du sale sur ses mains. Délicieux.

-Colonel, ca va aller ? lui demanda un caporal. Ou un lieutenant. Ou peut être même un capitaine.
-Ouais, ta gueule. C'est cool. T'as du sale sur toi.

Ça y est, sa vision se troubla et il s'écroula sur le coté, sur son voisin marine qui était surement gay puisqu'il souri. Enfin, d'après ce que Miller voyait.

[La suite demain dans l'espace].