Miami, 14:23; De nos jours, peu avant Le Grand Voyage. Docteur du cabinet Michel Muller.
John serre les dents et les poings. Assit sur un canapé en cuir à regarder cette saloperie de psy. Dans le cadre de son poste à hautes responsabilités, Daru Kol l'avait envoyé chez le meilleur psy de la ville. Il ne fallait pas qu'il pète un plombs lors d'une importante mission, ou en public. Cet homme devait apprendre à John à "canaliser ses forces" et "contrôler sa rage".
Bien entendu, Miller ne l'entendait pas de cette oreille là. Il n'ouvrait pas la bouche et écoutait la voix douce et monotone du psychologue.
-Maintenant si vous le voulez bien, allongez vous sur ce canapé devant mon bureau, colonel.
Miller grogna et s'exécuta. Il posa ses deux mains sur son ventre et se rendit compte que la pièce était insonorisée. La voix douce du docteur qui emplissait la pièce silencieuse lui fit quelques frissons sur la peau. Il desserra un peu les dents et tenta de faire le vide dans son esprit comme lui demandait l'homme.
-John, j'ai lu votre dossier. Je sais que votre passé a été extrêmement difficile. Toutefois, il ne contient pas assez d'éléments suffisant pour que je puisse établir un rapport. Il me faudra des précisions. -Si c'est pas sur le dossier, c'est qu'il y a une raison non ? dit il avec une voix teinté d'arrogance et de colère. -Calmez vous colonel, je veux juste vous aider à aller mieux. Posez votre tête contre le dossier. Nous allons commencer avec votre enfance, le passage le plus difficile il me semble.
Miller serra les poings suite à ces paroles. Le psychologue le vit, et lui posa sa main sur la sienne.
-Souvenez vous Miller, respirez profondément ...
John Miller SRN, Ancien directeur recherché
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-Comment étaient vos parents ? -Des pauvres cons, aucune sympathie pour moi. Surtout mon père. Je sais pas pourquoi je lui ai pas pété la gueule d'ailleurs.
Phoenix, Texas, 12 avril 2512; Résidence Miller.
Une assiette qui se brise, puis un verre projeté contre un mur. Le quotidien des Miller. Des hurlements audibles de tous les voisins. Dans la salle à manger, John Miller Senior s'était levé et avait crié à son fils :
-Tu n'est qu'un bon à rien ! Bordel, mais comment c'est possible d'avoir des notes pareil ??! Putain, j'ai honte d'avoir un fils aussi con que ca ! -Je t'emmerde ! Je fais ce que je peut, mais j'y arrive pas ! Je m'en branle des études ! Je vais être dans le sport ! Sale porc, t'as jamais rien compris à ma vie ! avait crié aussitôt John Miller Junior. -Arrêtez vous deux ... avait gémit sa mère. Elle se leva de table puis partit en sanglotant. -T'est content sale con ? Tu fais pleurer ta mère, putain !
Les mots de trop. Miller junior s'était levé et avait balancé son assiette dans le visage de son père, qui esquiva. Ce dernier saisi un verre qu'il lança sur son fils, qui esquiva à son tour. Junior et jeta sur Senior et lui administra un coup de pied dans l'abdomen. Le père furieux, attrapa son fils par le cou.
-JE VAIS TE TUER !!!
Et John junior donna un grand cou de tête dans celle de son père qui vacilla un peu. Il prit un balai avec le manche en fer et donna un grand coup dans la tête de son père. Puis il le frappa, frappa, et frappa encore avec les larmes aux yeux. Il jeta l'arme improvisée sur son père et couru dans sa chambre récupérer une valise qui était prête depuis longtemps.
John la mit sur les roulettes et couru hors de la maison. Il courut sur la longue route jusqu'à la ville. Il y avait environs un kilomètre jusqu'au centre ville. Il se rendit jusqu'au garage à taxi long trajets. Il demanda un taxi prêt a faire le trajet jusqu'en Floride. En sortant une partie de ses économies, il eut rapidement une place, on ne le questionna même pas sur son age.
-Et ensuite John, quand avez vous revu vos parents ? -Je ... AAAAARRRH !
John Miller SRN, Ancien directeur recherché
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Après avoir passé plusieurs minutes à calmer Miller, ils continuèrent.
CHAPITRE 3 : LES DÉBUTS
-Dites moi John, je sais qu'une fois allé en Floride, vous avez travaillé comme catcheur dans la WFF. -Ouais, la Wrestling Federation of Florida. Ben quoi ? -Détaillez moi un peu cette période de votre vie ... Pourquoi n'êtes vous pas resté catcheur ?
Il n'y avait pas grand chose à dire, John avait été frappé à la porte de la WFF, son rêve, mais en larme. Le gérant l'avait trouvé et écouté. Il avait voulu appeler les flics mais quand John Miller Junior lui avait expliqué la situation extrême qu'il vivait là bas et montré ses traces de coups, l'homme nommé John Doe lui proposa de l'héberger. Il resta quatre ans à la WFF, en apprenant toujours plus sur son sport préféré. C'est ici qu'il réussira à se tailler un corps d'athlète.
Miami, Floride, 21 Juin 2514, Arène "Big Dirt".
«Le prochain match est prévu en une chute la victoire s’obtient par tomber, soumission, décompte extérieure ou disqualification….»
-Le premier participant de Phoenix Texas, pesé à 102 kilos…The American Mauller, Jooohn ... Milleeer !
Le thème d’entrée de John Miller est le premier à retentir dans l’arène, la Superstar s’avance sous la huée du public dont il se moque éperdument, il passe sous la troisième corde, monte dans l’angle du ring et prend la pose, il redescend ensuite pour attendre son adversaire.
C’est ensuite le Sheamus qui entre dans l’aréna, acclamé par le public, le champion des Etats-Unis s’en moque et grimpe rapidement sur le ring en exhibant sa ceinture.
-Et son adversaire de Dublin, Irland, pesé à 127 kilos il est le champion des Etats-Unis…Sheamuus !
Sheamus qui donne sa ceinture à l’arbitre, ce dernier fait sonner la cloche c’est partit, les deux catcheurs qui tournent quelques instant l’un autour de l’autre, John se jette enfin sur Sheamus, dans un duel de force, John arrive à repousser le champion dans l’angle de ring ou l’arbitre leurs demande de se séparer, John recule mais revient très vite avec des droites en pleine face de Sheamus, John Miller le tire vers lui et lui envoie un monstrueux coup de la corde à linge.
"Un" Dégagement de Sheamus.
Miller place alors Sheamus dans une sale situation, il lui tord l’épaule et appuit sur son omoplate avec son genou, l’arbitre demande à l'Irlandais s’il compte abandonner mais ce dernier refuse et sert les dents. Sheamus se relève lentement et expédie une droite dans la face de Miller, puis un coup de genou dans le ventre, il en profite pour projeter son adversaire dans l’angle du ring. Sheamus prend son élan et lui met le coup de bélier, mais John évite et Sheamus va s'encastrer dans le coin du ring.
Il se met sur le coté, John Miller se relève avec l’aide des cordes, coup de pied dans l’abdomen The Celtic Warrior, mais il lui attrape le pied, saute et lui donner un kick dans le visage avec son autre pied. Il tente le tombé :
"Un, Deux" Dégagement de Miller.
Shemus qui se relève, il frappe John plusieurs fois au sol. Il est à quatre pattes, Sheamus se projette dans les cordes, coup de genoux en pleine face de Miller. Il se relève, pousse Sheamus dans les cordes, John qui l’attend il frappe dans la jambe de l'Irlandais qui tombe au sol. Il part pour sa prise de soumission : The Wall ! Sheamus qui hurle, il souffre mais il refuse d’abandonner il doit avancer, les cordes ne sont pas loin ... Il attrape les cordes, il est sauvé. L'arbitre demande à John de relâcher la prise.
Sheamus se relève tant bien que mal, il souffle quelques secondes, il se retourne. SPEAR !!!! John avec un spear, il a écrasé le Sheamus, qui tombe au sol.
"Un, Deux, Trois !" Victoire de John Miller. Il lève ses deux poings en l'air, mais se fait huer par le public. Rien à faire, il humilie son adversaire au sol et quitte le ring.
-Et notre vainqueur : The American Mauller, John Miller !
-Vous gagniez beaucoup de match alors, pourquoi vous êtes vous arrêté ? -Attendez c'est pas fini ...
Miami, Floride, 11 Juillet 2514, Centre d'entrainement de la WFF.
John soulevait des altères avec le patron John Doe.
-Et après tu finis avec un Sharpshooter. L'arbitre comptera jusqu'à trois, et n'oublie pas de l'agresser après le match pour renforcer ton bad-side. -Ok, j'ai compris. -Tu révise ca avec ton adversaire demain ? Faut que ce soit prêt pour ...
La porte principale s'ouvrit à la volée. Une voix grave retentit dans la salle :
-Doooe ! C'est tes amis de la mafia ! On veut notre tune maintenant ... -Va te planquer John ! -Nan, je suis assez fort pour te protéger. -Ta gueule John, c'est un ordre !
John après avoir hésité se planqua dans le bureau du patron, et observa son meurtre par la fenêtre, du classique.
-Alors John, il est ou notre fric ? -Je sais pas de quoi vous parler les gars.
Même un corps aussi musclé que celui de John Doe ne pouvait pas arrêter une balle de 9 mm parabellum à tête creuse.
Dernière édition par John Miller le Mar 23 Aoû 2011 - 12:43, édité 2 fois
John Miller SRN, Ancien directeur recherché
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-Et qu'avez vous fait après ca ? -La chose qui sans quoi je ne serais pas là.
Miller Junior avait tremblé de peur. Puis, en fouillant le bureau du patron à la recherche d'un portable pour appeler la police, il avait trouvé un revolver. Il avait mit des balles dans le chargeur vide, avait visé depuis sa cachette et touché le chef de la bande en plein dans la tête. Les autres membres se mirent à couvert et commencèrent à tirer partout. John avait entre temps appelé les flics et se cacha derrière un mur en pierre. Après deux minutes de fusillade, des tirs provinrent de la porte principale et les membres de la mafia s'écroulèrent un à un, morts. Quelques minutes plus tard après avoir sécurisé la pièce, les policiers récupèrent John, sous le choc.
Plusieurs jours passèrent ou il resta dans un centre social pour jeunes. Une assistante se rendit chez John Miller Senior pour leur faire signer les papier de majorité de John Miller Junior. Après ca, il resta plusieurs mois là bas et s'engagea plus tard dans la police, il réussit ses épreuves haut la main, major de sa promotion. Il fut assigné à une équipe, dirigée par Nick Connor ou il acquiert le nom de code de Redshark. A part ces deux là, il y avait un jeune homme doué en piratage informatique et une femme, avec des techniques d'art martial inégalées.
-Vous aviez alors 21 ans. -22. C'est l'âge de ma première mission. -Qu'elle était elle ? -On devait déjouer un attentat. Un appel anonyme qui indiquait une bombe dans un appartement.
Jacksonville, Floride, 3 Juillet 2518, Dans une ruelle du centre ville.
Un van noir était garé dans cette ruelle. A l'intérieur, Redshark, Eagle (Nick Connor), Blacksnake (Maryse Techna) et Adam, le pirate. Un petit briefing s'imposait avant de passer à l'action.
-Ok, donc possibles hostiles à l'intérieur. Bombe inconnue, localisation dans la chambre 23 du 3ème étage. Faudra faire gaffe à d'éventuels pièges. Il nous reste 7 minutes environs. -Ca marche pour moi. -Idem. -Allez, go !
La porte coulissante s'ouvrit. Les deux hommes et la femme en sortirent. John Miller et Nick prirent la porte de devant, et Maryse escalada les échelles de secours derrière. Armes au poing, Miller prit à par la gauche et Nick par la droite. Ils arrivèrent devant la porte de chaque coté.
-Adam, niveau thermique ca donne quoi ? -Ben là on se fait un peu chier, ya pas grand chose. -Blacksnake, en position ? -Affirmatif Eagle. -On entre !
John et Nick défoncèrent la porte. Maryse de son coté, passa à travers la vitre extérieure. Ils nettoyèrent la piece, pour trouver une jeune femme attachée à coté d'une bombe.
-Adam, tu vois la bombe ? Il reste 3 minutes. -Ouais, il faut sectionner le fil rouge. Ne bouge pas le fil bleu, il est instable.
Miller sortit un couteau de sa poche, prit une grande respiration et coupa le fil rouge. Le compteur s'accéléra, et les 2 minutes 48 restantes passèrent à 0 en quelques secondes. Miller se mit ses bras devant le visage pour se protéger, par réflexe, mais rien n'explosa.
Quelques heures plus tard, il se faisait photographier par des journalistes, donnait des interview, faisait un peu le pitre et le beau gosse devant les caméras.
-Et c'est comme ca que vous avez commencé votre réputation dans le métier ? -Si il n'y avait que ca, je serais encore un pauvre flic. Juste après, une autre affaire a éclatée et ca m'a propulsé en haut.
John Miller SRN, Ancien directeur recherché
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-Ouais, j'ai arrêté Virgil Johnson. Une grosse merde qui vendait de la drogue aux jeunes entre autres. C'était une opération que je menais en coopération avec le SRN. -Oui, j'ai lu cela dans votre dossier. Affaire qui vous a permis d'intégrer le SRN. J'ai entendu parler de l'affaire Miller&Buttler. -Ouais, j'ai failli perdre ma carrière à cause de ça. -Racontez moi ce qu'il s'est passé. Dites moi la vérité John, cela ne sortira pas de ce bureau.
Miller hésitait, mais cet homme le mettait en confiance. Il avait l'impression qu'il tiendrait parole. Avant de commencer, il lui lâcha :
-Ok, mais si j'apprends qu'il y a eu des fuites, je vous égorge.
New-Mombassa, 22 Juin 2523, QG du SRN.
A l'époque le QG n'était pas le même que celui de nos jours. Il était plus petit, plus modeste. Miller avait été convoqué par une des huiles du SRN. L'entretiens fut privé, mais John Miller sortit du bureau avec la mission bien en tête. Un agent fédéral du SRN était suspecté d'être une taupe, et il fallait le suivre afin de trouver des preuves. Bien évidement, il n'avait jamais eu cette conversation, et le SRN n'avait jamais commandité tout ça. Il devrait se débrouiller seul. De la filature, John détestait ça, il était plus doué pour faire parler ses témoins. Durant des jours durant, Miller le suivit, l'observa faire des deals louches dans la rue, se faire des putes, se piner la tronche dans les bars. Un jour, John collecta assez d'info pour avoir l'emplacement exact d'un deal entre l'agent fédéral et une bande de rebelles. L'échange concernait apparemment des informations. John appela du renfort, fit coffrer tout ce joli monde et interrogea l'agent fédéral : Joe Smith. Interroger n'était pas le bon mot. Torturer était plus approprié. Le fameux Buttler était son assistant.
Miami, Floride, 27 Juin 2523, Endroit inconnu.
Dans la salle d'interrogation, Miller avait disposé plusieurs "outils de travail" sur la table. Couteaux, aiguilles, citrons, batteries électriques, sel, perceuse et une étrange seringue. Autant dire que Joe se faisait dessus, mai n'était pas prêt à tout avouer. Il en subit les conséquences.
-Alors Joe, on a été méchant ? -Je dirais rien. -Très bien alors on va passer les menaces habituelles et on va passer directement à l'action.
Miller se passa la langues sur les lèvres et commença avec les aiguilles. Il connaissait les points sensibles du corps humain. Il s'amusa à lui planter dans le dos, dans la nuque, dans le crâne. L'homme enchainé ne pouvait rien faire, mais il ne voulait toujours pas parler. Ses informations devaient être importantes.
-Alors pauvre merde, tu va parler ? -Va chier, sale fils de pute !
Buttler dans un coin de la pièces, les bras croisés dit :
-Oh ... t'aurais pas dut.
Effectivement : Miller saisi une pincée de sel et à l'aide du gros Buttler, lui en mit dans l'oeil gauche.
-AAAAAAHHHH ! CA BRULE !!!! -Ah bon ? Tu va parler alors ?
Il refusa, et Miller continua son office avec délectation. Il lui fit une entaille dans le bras et lui mit du citron et du sel à l'intérieur. La douleur était si terrible que Joe s'évanouit. Pour le réveiller Miller lui brancha les batteries électriques aux oreilles et ramène Joe à la vie. Le bougre ne voulait pas parler, il en fit donc les frais. Tout y passa : perceuse, encore des aiguilles, des torsions d'articulations. Au bout du compte, Joe n'avait pas parlé et avait tous les membres cassés. Miller lui injecta un produit pour le garder conscient et prit la grosse seringue mystérieuse pour la faire tourner dans ses doigts.
-Vois tu Joe, ceci est un produit que j'appelle le Miller Cocktail. Je l'ai fait moi même et j'en suis plutôt fier. Ce produit enflamme nstantanément l'intérieur du corps, et garde conscient la victime. Encore mieux : celle ci ne peut pas mourir, un peu comme cette légende de la mythologie. Testons.
Miller injecta le produit et se mit un casque sur les oreilles. Il écoutait un groupe de hard rock en balançant un peu la tête au rythme de la musique. Il n'entendait rien, mais voyait bien Smith se tordre de douleur, hurler à s'en faire claquer les cordes vocales, sa tête complètement rouge. Il arrêta la musique seulement au bout d'une ou deux minutes.
-JE VAIS PARLER !!!
Joe donna tous les noms, informations et planques des rebelles à Miami. Mais cela ne suffisait pas, Miller voulait l'entendre se faire supplier. Joe refusa, et Miller fit la connerie à ne pas faire : il brancha les batteries électrique sur Joe. C'était trop, l'homme claqua. Pourtant, on le voulait vivant, et il avait un cadavre sur les bras alors que le SRN ne devait avoir aucun lien avec cette affaire. Il prit un couteau, déchiqueta le corps de Joe, recueillit son sang, et en éparpilla sur Buttler. Il assomma ensuite son assistant, nettoya les preuves et appela la police anonymement en dénonçant Buttler. Bien évidemment celui ci ne se laissa pas faire et le dénonça. Alors qu'il se croyait perdu, le SRN l'aida quand même en trafiquant des preuves. Buttler coula seul, et Miller était libre. Malgré tout, l'affaire fit la une des journaux. John devait disparaitre.
-Vous avez donc disparu trois ans. -Exact. -Je sais que vous avez mené une dure opération pendant trois ans, ou vous avez disparu de la circulation. Je n'ai pas beaucoup de détails. -Ce fut le pire moment de ma vie ...