[Partie 2 de La Tempête] En quête de réponses (Covenants du Main de la Justice et humains)

-Allez c’est l’heure d’aller défoncer du Covies ! gueula un humain.

Sora enfila son casque, mit sa lance dans son dos et rentra dans le Lightning avec le reste du commando.

-Mettez vos sangles, il est possible qu’on rencontre quelques problèmes, annonça Zoka.

L’officier hérétique passa entre les membres du Demon of the Truth et s’arrêta devant Meda Asender’. Celui-ci le regarda droit dans les yeux dans lesquels Sora lut la question : « Oui ? ».
-Je me suis renseigné sur vous, dit Sora en tendant sa main, et j’ai découvert que vous vous serviez d’une arme humaine.
Tendez votre main, s’il vous plait.

Le sangheili s’exécuta, puis l’ancien biologiste ouvrit la main et quatre chargeurs de pistolet M6D en tombèrent.

-J’espère que cela vous fait plaisir, j’ai du demandez à plusieurs humains avant qu’un ne m’en donne. J’étais biologiste avant, j’ai étudié la race humaine. Si vous êtes fasciné par cette race je peux vous apprendre beaucoup de chose.

Sans attendre la réponse, Sora se retourna et alla au siège de copilote.
Le pilote du Seraph demanda :
-Alors ? On peut y aller ?

-Oui, allons-y. Sora brancha les haut-parleurs, première leçon sur les humains, Meda Asender’, lorsqu’ils partent en guerre ils disent souvent un dicton très connu de leur race : ça va chier !

Khor houspillais un peu, voila quelques temps qu’il n’étais pas monté dans un des modules de largages propres et emblématiques des SpecOps, bien évidemment il était assez grand pour supporter la carrure du guerrier, encore heureux cela dit. D’un pas lourd et assuré, son respirateur verrouillé hermétiquement, il pouvais entamer son saut dans l’espace avec ces frères et guerriers, la bataille allais bientôt faire rage au sol. Le sol dur et ferme.. Le terrain de prédiction de l’élite. Il fut le premier en place dans son module, les autres de ces frères le suivirent rapidement, brièvement, Khor activa son Canal de communication avec les dizaines de guerriers qui le suivaient, cet assaut orbital lui rappelais vaguement la bataille de Sangheillios.

« Soldats ! Hurla Khor dans la communication, un encouragement était nécessaire. Préparez vous a un saut dans l’espace que vous n’oublierez jamais.. Sora ! Tu sais ce que tu as a faire, ton escouade te suivra, préparez vous néanmoins a arriver en soutiens. Trok, je place Hora et Bero sous tes ordres, suis bien mes instruction. Et a tout les autres soldats, vous me soutiendrez a l’assaut du bâtiment de nos anciens frères ! »

Il inspira alors que les pods de largages des hérétiques entraient en place.

« Soldats.. N’oubliez pas les noms des morts.. N’oubliez pas, qui vous devrez venger si ils venaient a tomber.. Nos anciens frères sont aveuglés, essayez d’en convertir quelques uns si vous le pouvez, sinon montrer leurs le chemin de la vérité par la beauté d’un éclat électrique de nos lames funestes… »

Soudainement, la dépression arriva, les tripes remontèrent dans l’estomac de chaque élite, et la plupart regardèrent par leurs hublot, l’image de la planète dévastée resta gravée dans la mémoire de Khor a cet instant précis..

La partie ou les hérétiques joueraient le plus grand rôle, avait commencée

Notre groupe s'était déplacé vers l'aire du vaisseau où était situé les capsules de débarquement, les mêmes capsules utilisés par la SpaceOps: mon ancienne affectation avant mon illumination... avant que ma vrai vie ne commence. Nous sommes donc entré dans nos moyens de locomotions pour le ''voyage'' vers la planète humaine. Tout en serrant les sangles autour de mon torse, un bref frison parcouru mon corps. On aurait pu l'interpréter comme un signe de peur ou de stresse. J'étais un peu stressé certes, mais j'avais bien hâte de me battre encore une fois avec mes frères. J'espérais simplement le moins de perte possible dans nos rangs même si la mort est un honneur chez nous sangheilis.

J'avais donc finis de m'attacher dans la petite cabine et alors la ligne de communication de l'escouade s'ouvrit. C'était Khor, il voulait sûrement donner ces ordres avant la bataille. Nous devions être prêt une fois sur la terre ferme, car sinon nous n'aurions même pas le temps de sortir des modules et nous serions déjà mort. La coordination sera la clé aujourd'hui, la précision et la chance devra guidé nos lames et nos tirs à travers ce champ de bataille qui sera plus que chaotique. Il donna donc ses ordres et à mon grand étonnement j'eus la tâche de commander deux autres soldats hérétiques. Je les connaissais de nom, mais tout m'était inconnu d'eux.

Il arrêta brusquement de parlé et des grincements se firent entendre. Nos capsules étaient déplacés vers le lieu d'où elles seront propulsé vers la planète. À travers la vitre frontale, je pouvais voir les autres... mes frères. Bientôt, le combat éclatera et nous nous battrons côte à côte. Enfin, j'avais eu le commandement de deux autres élites et peut-être allais-je avoir une mission particulière? Je n'en avais aucune idée, mais une chose était sûr: aucun de ces deux-là ne mourront aujourd'hui, peut-être moi, mais pas eux.

Alors, les capsules furent lâché dans le vide vis-à-vis la planète, elles prenaient de la vitesse, entraînés par la gravité de celle-ci. Une sensation très désagréable m'envahissait pourtant j'avais déjà fait le saut plusieurs fois. On ne pouvait s'habituer à ce genre de chose?

-Quelque chose te dérange mon frère ? demanda Zoka.

-Eh bien... je trouve que quelque chose cloche.

-Quoi donc ? On va aller botter les fesses aux pions des Prophètes et toi tu trouve quelque chose cloche ?

-Oui mais… ce n’est pas l’habitude des Covenants de débarquer leurs troupes sur une planète humaine ! Ayant dirigé une petite flotte jadis, je sais qu’une fois qu’on a traversé les lignes des humains et rentré dans l’atmosphère de la planète, les vaisseaux commençaient à la vitrifier. Hors là ils envahissent une ville.

-Pour une I.A humaine qui pourrait contenir les coordonnées d’une planète que nos chers nouveaux amis possèdent.

-Tu dois avoir raison, conclut Sora.

Pourtant il était sure qu’il y avait « une couille dans le potage, comme disent les humains ».

Le commando the Demon of the Truth était ballotté en tous Sens. Et pour cause, la vingtaine de Shade en tous genres crachaient soit des tirs de plasma soit des tirs des boules de canon à combustible.

-Bon je vais vous larguer ici, vous avez intérêt de faire vite ! Détruisez tous ces trucs sinon on n’aura pas une armée qui puisse faire taille à celle des covenants ! Alors vous vous débrouiller mais…

Un pélican explosa non loin du Lightning ce qui interrompit Zoka.

-On a compris mon frère. Demon of the truth ! On doit sortir du Lighting en moins de dix secondes !

Le chasseur tira sur un Shade et l’explosa, ensuite il fit un looping, passa au-dessus d’une terrasse et s’arrêta pendant un bref instant.
Le commando sortit et commença à préparer un plan de bataille :
-Il y a beaucoup de Shade, c’est pourquoi il voudrait mieux qu’on scinde le commando en deux groupes.
Meda ‘Asender, je sais que dans le temps vous avez dirigé un groupe de personnes. C’est donc vous qui serez chargé du deuxième groupe.
Prenez Valentorus et Toka. Le reste venez avec moi.
Meda !

-Oui ?

-Que les dieux vous accompagnent.

Sur ceux le commando se sépara et partit dans deux directions opposé.
Ils repérèrent, depuis un balcon, un groupe de quatre Shade dont un avec un canon à combustible.
-Ecoutez-moi. Nous sommes le groupe furtif, donc il faut agir dans l’ombre mais rapidement. Gayap, vous voyez l’autre Shade là-bas, un peu plus en hauteur par rapport aux autres ?

-Oui patron !

-Je vais abattre à distance l’unggoy qui est à l’intérieur.
Ensuite, Hoka, vous vous glisserez au milieu d’eux et vous les assassinerez un par un.
Il faudra faire vite car Gayap et celui qui a le plus de chance de mourir.
Allez-y !

Sora attendit que le petit ingénieur soit en place et abattit l’unggoy dans le Shade et tous les covenants autour de celui-ci.
L’unggoy hérétique monte dans la tourelle et ce fut au tour de Hoka.
L’assassin neutralisa un autre Shade et Gayap ouvrit le feu.
L’officier hérétique explosa le crâne du grognard conduisant le Shade avec un canon à combustible. Les autres Shades furent vite neutralisé.
L’ancien biologiste ouvrit une communication avec le deuxième groupe :
-Ici Sora, en a neutralisé quatre Shades, comment ça se passe de votre côté ?

Les capsules ont commencé à tomber du ciel tel des gouttes d'eau. Certaines étaient carbonisés par les tirs covenants, mais d'autres comme la mienne avait eu plus de chance et était resté intacte. Une fois que mon pod s'ancra dans la terre avec une vive force, la porte s'ouvrit à l'aide d'une grande pression d'air. Dégainant mon épée dans un petit bruit de brûlure causer par le plasma, ma lame apparut tout à coup dans le fourreau prête à affronter tout ceux qui le voudront bien.

Je me suis alors avancé, mettant un sabot devant l'autre jusqu'à ce que ma route me mène à quelques mètres de ma capsule. J'aurais pu être pris au désarroi par les multiples qui devraient fusé à ce moment autour de moi, mais il n'y a personne. La seul chose que j'entende est pourtant ce grand grondement marqué par les cris de douleur, les détonations des armes à feu et la bruit des armes à plasma. J'étais un peu bouleversé par ce manque d'action autour de moi. Mon pod s'était égaré à environ 1 kilomètre de la zone de combat si mon évaluation était bonne. J'étais dans un environnement fait de maison à moitié calciné et de débris qui obstruait les rues. Personne ne s'était posé à la même place que moi, j'étais seul et je devais à tout pris retrouvé le reste de mes confrères. Hora... Bero! Ils sont sous mes ordres, mais je suis si loin d'eux! Je dois les rejoindre en premier, ils doivent être sur le champ de bataille eux aussi! J'ai alors commencé ma route vers la source de tout ce brouhaha.

J'ai alors activé mon camouflage pour éviter de me faire repérer avant mon arrivé vers l'objectif. J'ai alors marché pendant plus de 10 minutes, m'arrêtant chaque fois qu'un bruit anormal s'élevait des bruits de la bataille. Aucun accident n'est arrivé durant ce temps. Je me suis alors finalement arrêté et j'ai pris la décision de contacter Hora et Bero pour leur informer que j'étais toujours en vie. J'ai alors allumé ma ligne de communication puis j'ai murmuré:

- Trok Zaz' est toujours en vie et il arrive...

J'ai donc continué ma progression à travers les obstacles de bétons pour ainsi voir le carnage qui s'offrait à mes yeux. Le commandant ennemi était loin d'être un idiot, son intelligence devait égaler sa mesquinerie. Il avait posté des shades à divers emplacements. Ces tourelles empêchaient toutes réelles progression pour nos troupes et les corps des nôtres commençaient à joncher le sol. Heureusement, certains hérétiques et quelques marines tentaient de faire trépasser les carabiniers aux commandes des engins tueurs.

J'aurais bien voulu m'occuper de ces impuretés moi aussi, mais je devais trouver mon escouade constitué de deux élites. J'ai finalement pu les trouvés, combattant aux côtés d'une escouade humain contre une vingtaine d'unggoys et deux armures rouges. Je dois les aider!

La situation tournait bien trop à l'avantage des covenants. Ces guerriers aveuglés par un objectif suicidaire réduisaient à néant nos tentatives de renforcement. J'ai alors couru en direction de mes deux coéquipiers qui faisaient de leur mieux pour aider un groupe d'humain qui essuyait les tirs meurtriés de deux sangheilis ainsi que d'une troupe de grunt. Environ 50 mètres me séparaient d'eux. Une distance très faible certe, mais totalement occupé par les combats environnants. Il n'y avait aucun ordre dans tout ca, il n'y avait que du chaos. Quelqu'un devait mettre de l'ordre là-dedans. Ce n'est pas mon habitude, mais je dois absolument prendre les mesures pour montrer à ces infâmes serviteurs du mensonge que notre cause de vérité était mieux que la leur... et surtout pour éviter le plus de perte possible. J'ai alors jeté un rapide coup d'oeil à mon équipement: un fusil à plasma et ma fidèle épée énergétique. J'ai alors remarqué le corps d'un défunt marine à quelques mètres de moi à couvert grâce à une carcasse de ce que les humains appelent une automobile. Le pauvre avait du souffrir, mais il est mort dans l'honneur. Plusieurs cadavres de grunts gisaient autour de lui. Sur ces restes brûler par le plasma, j'ai pu trouver une grenade humaine qui n'avait pas exploser. Je l'ai alors ramassé en l'accrochant à ma taille. Je savais comment cette arme fonctionnait. Je suis alors revenu à ma position initiale, ayant une vue sur le champs de bataille assez bonne.

Mes compagnons ne se décourageaient pas, mais l'avantage n'allait pas avec eux. J'ai alors activé mon camouflage. J'allais passé derrière les premières lignes ennemis puis enfin déboucher sur ceux que je voulais absolument aider. Alors que je passais silencieusement derrière les groupes d'unggoys et les frères corrompus, une idée me vint en tête. La grenade que j'avais trouvé allait m'être utile. Je la pris alors dans ma main droite, puis arracha la goupille avec mon autre. Je l'ai ensuite lancé derrière un groupe d'une dizaine de grunts. Peut-être qu'avec ce simple geste le front allié serait moins chargé?

J'ai alors continué ma route, me faufilant à travers les cadavres et les vivants de mes adversaires jusqu'à-ce que je me situe à 7 mètres d'eux. J'ai alors commencé à prendre de la vitesse, mon camouflage désactivé maintenanté Je courrais de plus en plus vite jusqu'à ce que je me retrouve sur un des deux élites qui tiraient sur le groupe de hétérogène de marines et hérétiques. Ma lame maintenant activée se trouvant dans le coup de mon adversaire. Tandis que je me relevais tout en autant ma lame du corps de l'ancien major domo, son confrère poussa un cri de défi à mon égard. Les grunts continuant leur tir de supression sur mes alliés. Ma lame toujours activé, je répondis à son cri de défi par un simple geste de la tête. Il activa sa propre lame, puis le combat commenca. Il ne fallut pas une éternité avant que mon épée ne se fige dans sa chair. Le reste de la troupe perdit tout son morale lorsqu'ils s'apercurent de la mort de leurs chefs. Se sauvant en courant tout en poussant des cris aigus.

[hrp: désolé pour le retard mais j'avais peu d'idée pour m'incruster, espérons que sa fasse pas tâche =) ]


- Bon tu choisis quoi? le Fusil SR 99 AM ou le fusil de combat DMR ?
- je préfère le DMR, tu est meilleure que moi au tir embusqué...et plus patiente aussi.
- OK dès que le Pelican se pose je prend une position élevée avec la meilleure vue et couvre ton détachement.

Magdalène et moi débattions du choix de l'équipement de combat au milieu des marines que m'avait affecté le commandant après le briefing, nous pouvions tous entendre et sentir les impacts d'armes à plasma heurter la carlingue de notre taxi, nous étions repérés et atterrissage n'allait pas être discret. Le premier transport qui posa sa masse métallique sur le sol fut rapidement criblé de faisceaux d'énergie bleue ou verte, les Covenants ne laissaient rien passer et les premières victimes s'ajoutaient à la longue liste des pertes de cette guerre interminable.

Le pilote de notre Pelican essayais d'éviter les tirs menaçants venant des Shades placés sur la zone, rendant l'assaut plus que difficile. Une rafale transforma un des réacteur en grille pain de luxe à 200 000 $, les flammes cramoisies qui s'en échappaient pouvaient déjà se ressentir à l'intérieur. Certains des marines commençaient à paniquer et sentir que la fin approchait.

- et merde! ont va crever avant même de toucher le sol !
- ne t'en fait pas, si ont se crache on fera en sorte d'emporter un maximum de ces pourris avec nous! mais en attendant garde ton optimisme et ta rage pour dehors!
- oui capitaine! ont va les renvoyer sur leur planète les pieds devant!

Ou pas... le pilote perdit le contrôle de la brique volante qui nous servait d'aéronef et commença a vriller dans les airs en frôlant un autre Pelican qui s'apprêtait à se poser, son pilote devait prier pour nous en voyant notre masse de métal enflammée percuter violemment le sol et continuer sa course contre une grosse poche de résistance ennemie. L'épave renversa un groupe de Grunts qui n'avaient pas eut le temps de s'enfuir, sa course s'arrêta contre la statue d'une grande fontaine qui trônai au milieu d'un petit parc fleuri.
Je fit rapidement un rapport de la situation, la cabine de pilotage était encastrée dans le large piédestal de la statue, aucun survivant à déplorer, je ne pouvais même pas l'atteindre pour récupérer les plaques des pilotes. 4 marines s'étaient brisé la nuque contre les parois de l'appareil réduisant donc le nombre de notre commando à 7 en comptant Magdalène et moi. Et comme si cela ne suffisait pas un groupe de Coveants commençait à encercler notre position, la routine pour un capitaine de la Navy....

- Ok les gars gardez votre sang froid, je tente de ramener du renfort:
> Capitaine Thermidor détaché sur la défense du quartier est d'Elysium City, mon Pelican c'est fait descendre en vol et a eu la bonne idée de terminer sa course au milieu d'une statue, si quelqu'un passe par la je lui promet une bouteille de ma cave à vin personnelle, Josh terminé!

Je vérifiais une dernière foi que rien ne manquait sur ma tenue de combat puis attrapa un fusil DMR encatré dans son râtelier, enclencha un chargeur et tira fermement le levier d'armement, un peu de tir sa me manquais presque...

Le briefing terminé, John était partit pour monter à bord du même pélican que le lieutenant colonel, mais celui-ci fut remplis aussitôt de combattant, l'adjudant du attendre un longs moment avant de pouvoir monter dans la soute d'un des appareils, le pilote était même venus le voir car il était le plus haut gradé, lui demandant alors si il devait obligatoirement le déposé dans la zone de combat où tout les engins se faisaient descendre sans problèmes. Freeman regarda les soldats qui l'accompagnaient dans la soute et estima aussitôt qu'il valait mieux les poser dans un endroit un peux a l'écart.
La soute se ferma dans une lueur rouge, indiquant alors que l'appareil décollait en direction de la ZA...
Les minutes passaient lentement, les soldats étaient silencieux, certains semblaient même prier car ils murmuraient quelque chose que John ne put que comprendre "Au nom du fils et du..."
Freeman regarda son couteau, il avait perdus celui qui lui avait permis de tuer plein de covenant, même si il servait plus a les décapiter.
Soudain comme un flash il le vit, Randy, assit juste devant lui silencieux le regard vide avant de disparaitre en un clignement de l'œil. John ne fut pas vraiment marquer par cette apparition, après tout la folie lui gagnait à cause de son passé... du moins c'est ce qu'il avait comprit. Son couteau pivota entre ces doigts, et John ne put s'empêcher de réciter ce que son premier sergent avait l'habitude de faire avant de massacrer chaque rebelle.

-La mort accompagne chacun de mes hommes sur le terrain, autant les faibles que les forts, elle n'est ni amie, ni ennemie, juste celle qui nous assiste...dans la descente de l'adversité !

Lorsqu'il releva les yeux, certains avaient arrêter de prier pour le regarder lui et son couteau, dessinant sur le visage un sourire mêlant confiance et frayeur. Le pélican fut prit d'une secousse quelque peux impressionnante, l'alarme retentit aussitôt et la porte de la soute arrière fut arracher dans une explosion bleus flash.
Un des pilotes hurla dans le micro un ...

-On va s'écraser !

La hauteur des building fut visible, le ciel sombre et ténébreux de cette guerre semblait digne d'être écrite dans un poèmes, puis l'image disparut, le noir complet, John ne se sentait pas vraiment bien et tenta d'ouvrir les yeux, voyant alors des formes humaine , certainement des marines, courir vers les immeubles les plus prêt, ces paupières se refermèrent, ces yeux se rouvrir un instant plus tard, se voyant marcher vers une porte vitrés tout en entendant quelqu'un lâcher un "On va s'en sortir, on va s'en sortir !".
Il se sentit appuyer contre quelque chose, lorsqu'il ouvrit les yeux, il put voir un médecin entrain de le regarder, répétant sans cesse "Adjudant !", John le fixait dans un sentiment proche du néant, puis il vit le médecin poser une seringue a coté de lui quand il fixa quelque chose sur sa gauche, courant aussitôt dans cette direction. Une voie familière...John ne tenta même pas de relever les yeux, trop concentré à rechercher dans ces souvenirs qui c'était, lorsqu'il le vit, de taille moyenne, des cheveux blond comme de l'or et ces yeux vert, une cicatrices sur la joue droite...faite par un couteau, son couteau ! Nom de dieux, c'est le Caporal Lionel ! C'était impossible, il était mort il y a de ca prêt de six ans sur harvest, mort suite à une blessure d'un projectile de Needler ! Le marine prit alors la main de l'adjudant qui ne sentait pas le contacte, la plaçant sas hésitation sur la seringue en enlevant le capuchon, leva la main juste au dessus de la jambe avant de la lâcher pour quel se plante tout en appuyant du pousse pour permettre au liquide de se déverser dans son sang.
Le caporal souri aussitôt avant de lui dire un "Que la mort t'assiste", john se rappela aussitôt de cette phrase, ce n'était autre que les derniers mots que Lionel lui avait dit avant de fermer les yeux a jamais...
John attendit un moment avant que une nouvelle énergie s'empare de lui, comme si il venait de se réveiller, son bras se posa au sol pour l'aider a se relever, voyant alors le médecin venir vers lui tout en demandant :

-Comment vous sentez vous, Adjudant ?
-Je vous répondrais quand les covenants seront morts de ma main !
-Bien adjudant, tenez ...

Le médecin lui donna aussitot des barres énergisante, au chocolats en plus !, Freeman les mangea rapidement avant de récupérez sur un cadavre de marines son fusil de précisions, la plaque avait déja été arraché par le médecins car elle n'y était plus, il observa un cours instant la zone, voyant que la plupart des marines étaients là... mais aussi un pilotes !
Puis il fixa le pélican qui était planter dans le mur de l'immeuble en silence...
L'homme pr

(Désolé du retard, j’avoue que j’ai commencé à décrocher, mais me voici.)

-Patron ! Zealot en approche !

-Combien ?

-Plein !

-Cachez-vous quelque part, vous êtes trop faible pour les affronter !

Sora scruta l’horizon et chercha la moindre chose anormale. Il appuya sur un bouton situé sur son avant bras et s’écria :
-Meda ! Des zealots arrivent sur votre position ainsi que la notre ! Préparez-vous !

Il ferma le canal de transmission, et commença à mettre en place la stratégie :
-Hoka, camouflez-vous. Je vais servir d’appât.

L’élite disparut comme par enchantement. Sora dégaina sa lance et attendit… rien…
Les minutes passèrent puis, comme il l’avait prévu, il entendit un objet fendre l’air.
Il para l’épée à énergie et fit de grand geste pour éviter que les Sangheilis aux armures rouge ne s’approchent trop près de lui.
Il décapita celui qui avait ouvert le bal et empala un autre. Des tirs de plasma bleu heurtèrent ses boucliers qui, toutefois, ne blessèrent pas l’officier hérétique. Il fonça et tua le pauvre malheureux. Mais les Sangheilis covenants étaient partout et Sora fut vite submergé.
Ce fut à ce moment que Hoka manifesta sa présence, il lança une épée qui transperça le zealot qui avait eu le malheur d’être sur la route de celle-ci et planta son couteau dans le crâne d’un autre ennemi
Le combat continua et fit trois morts chez les covenants et de multitudes de blessures pour Sora et Hoka. Leur armure était maculé de sang de leurs adversaires ainsi que du leurs.
Soudain un cri interrompit le combat et les hérétiques firent volte-face.
-Taaa ! Lâche-moi sale pourriture de covies !

-Gayap ! s’écria Hoka.

Le zealot plaqua sa lame, qui sortait de son poignet, sur le coup de l’unggoy qui s’agitait dans ses bras, essayant de s’échapper en vain.
-Posez vos armes sinon je répandrai son sang ! ordonna le sangheili d’une voix rauque.

-Patron vous occupez pas de moi !

L’ancien biologiste posa ses armes tout doucement et incita Hoka à faire de même.
-Stupide hérétique… chuchota doucement l’élite sans pitié.

Le pélican explosa dans une belle déflagration composé de flammes gigantesque et d'un souffle puissant, Freeman eu le même réflexes que les autres, il ferma les paupières en attendant la fin de l'action pour se retourner et observer ces troupes, du moins se qui restait de l'unité qui avait embarqué dans le tas de ferraille qui venait de s'enflammer, Il regarda les soldats encore debout, ils étaient huit, certains pouvaient encore tenir, mais d'autres mourraient du à la perte de leurs sangs.
Freeman s'approcha du médecin, le seul pour être précis et lui demander sur un ton calme tout en pointant ceux qui ne survivront certainement pas d'un gestes discret.

-Je connais déjà le diagnostique soldat, je veux juste savoir pour combien de temps ils auront .
-Certainements pour quelques minutes adjudant,

L'homme semblait comme affolés, et ca, Freeman savait quel était le problème. Lentement il soupira tout en regardant ceux qui mourrait lentement, il fixa ensuite les yeux du médecin pour lui dire sans aucune émotions.

-Alors on va bouger, préparez le barda et on y va !
-Et pour les blessés ?
-Restez ici avec un marine et appelez les secours si vous le pouvez, on reviendra dès qu'on pourra !

John cria aussitôt ces ordres à tout le groupes de marines, aucun d'entre eux ne devait le contredire, aucun d'entre eux ne pouvait se sacrifier pour leurs camarades qui partaient lentement, il vérifia sa nouvelle arme tout en regardant si son M90 était encore présent, celui-ci n'avait pas bougé de son dos, John ramassa un casque de marines avant de partir suivit de six marines. Il traversa les rues aussi rapidement que possible, arrivant dans des zones ensanglantés de rouges, des civils recouvrait le sol, John ne s'arrêta pas pour regarder plus attentivement, il avait une mission c'était de veiller sur le lieutenant colonel. Il longea les murs dans la plus grande discrétion avant d'arriver sur une place où des policiers tentaient de survivre comme ils le pouvaient. Ils devaient être cinq contre quelque grunt et un élite, John observa rapidement les toits des bâtiments avant de prendre son fusil à l'épaule, se mettant à genoux tout en visant la tête du covenant, appuyant sur le chiens de détente lentement provoquant aussitôt le départ de la balle qui vint se loger dans la tête de l'élite qui s'effondra au sol.
Les grognards se retournèrent et reçurent les munitions des marines et policiers dans leurs corps, l'un des ennemis s'envola dans les aires tout en laissant une trainé verte derrière lui.
Freeman s'approcha d'eux, permettant au policiers de s'approcher sans peine.

-Merci...Adjudant, sans vous c'était fini de nous.
-Vous êtes les derniers ?
-Oui monsieur, nous protégions les civils à l'intérieur du garage.
-J'ai besoin de vos tireurs d'élites, si vous en avez encore !
-Oui monsieur, SAM !

Un agent s'approcha armé d'un fusil de précision du CSNU, John ne tenta même pas de lui demander où il avait trouvé l'arme et l'intégra dans son groupe, les policiers lui avait expliquer avoir vue un pélican s'écraser dans la rue d'à coter et freeman leurs expliqua l'endroit où se trouvait des marines gravement blessé, un peux de soutien pour le médecin ne lui fera pas de mal. Il continua aussitôt sa route au pas de course avant d'arriver dans le lieux où un pélican se trouvait planter dans un piédestal et où la fusillade entre humains et covenants était présente.
Les covenants n'étaient qu'une trentaines, quelques grunts étaient sur le sol en train de baigner dans leurs propres sang... c'était un peux trop pour eux, mais l'avantage resterait sans doutes la présence de trois tireurs embusqué. Soudain sa vue se figea sur un groupe de marine qui arriva vers eux, l'un d'entre eux se présenta vers John...

-Sergent Oney à vos ordres monsieur.
-Sergent !, vous possédez combien d'hommes ?
-Nous sommes quinze monsieur dont trois artilleurs,deux tireurs embusqués et ...
-C'est mon jours de chance sergent, alors voilà ce que vous allez faire, je veux que vos tireurs détende les plus costauds... le reste se fera descendre par les unités au sol, vous serez le chef pendant mon absence.
-Bien mon Adjudant.

L'homme repartit rapidement avec ces unités d'où il venait, Freeman se retourna pour repartir discrètement, entendant les murmures lui concernant. John se mit à courir à travers les rues jusqu'à se trouver dans un lieux où les fusillades étaient couvertes par les explosion dévastatrices de grenades ou de blindés covie , transformant ce qui à l'origine se devait d'être une ville, mais cette journée qui lui semblait être prometteuse fut sur le coups ... un souvenir qu'il avait vue tant de fois contre le même adversaire . Freeman était a peine apparut qu'une salve de tir fut dirigé contre lui, surtout des munitions vertes qu'il évita de justesse, il se mit à ramper dans le sang de toutes les espèces réunies... une belle couleur d'ailleurs. à un moment il du même se cacher parmi les morts pour éviter de se faire éventrer par un élite avant de continuer sa route, roulant parfois au sol avant de sprinter et de glisser sur le sol ensanglantés pour se cacher derrière un cadavre de...hunter ? .
C'est à se moment qu'il le vit, son objectif principal était à cinq cents mètres de lui, Lieutenant Colonel Cameron Heich , John hésita un moment avant de se lever et de courir tête baisser, il regarda dans la lunette de son fusil après avoir fait glisser le canon sur le corps ensanglantés d'orange, il pouvait voir qu'il ne lui restait que deux balles perforantes tout en observant un kilomètres plus loin si ce n'est pas deux, deux élites hérétiques semblants tenir tête à un Zealots ?, Freeman regarda la scene quelques secondes avant de faire son choix, éliminer le covenant qui tenait un grunt, il tira alors une balle qui laissa derrière elle une trainé blanche suivit d'une seconde pour abréger les souffrances du petit covenant prit en otage tout en espérant que la balle toucherait l'élite derrière pour lui éclater un organe, il roula aussitôt sur le coté , se releva avant de repartir en direction de son objectif, protéger Heich à tout prix...

[Mes excuses pour le grunt...je suis prêt à changer certains de mes textes pour concorder au mieux avec le rp]

Enfin, j'avais trouvé mes deux frères. Avec eux je pourrais enfin m'enfoncer dans les lignes adversaires pour semer zizanie et mort parmis ces sales croyants. J'ai alors laissé à leur sort le groupe d'humain que défendait les deux hérétiques pour me rendre profondément derrière les lignes ennemis. Celle-ci semblait étrangement reculer à chaque nouvelle minute. Tout le sang que nous avions dû payer au début de la bataille semblait maintenant ne plus être inutile. Les troupes hérétiques et humaines avancaient, mais mes deux frères et moi s'aventurions à une vitesse encore plus rapide à travers les lignes ennemis. Porfitant des cibles éloignés des autres, nous frappions par derrière, comme des lâches, mais la guerre n'est pas une simple histoire de force et de courage comme je le croyais avant. Il n'y a aucune règele dans ce conflict. La guerre est cruelle et personne ne semble y faire de quartier donc pourquoi ne pas tuer silencieusement et discrètement? C'est ce que nous avons fait. À la tête de ma petite équipe, nous avons tué près d'une vingtaine de covenants. Nous avons tué des anciens frères sangheili, de ces sales vautoures de Kig-Yar et quelques petits grunts. Aucune discrimination lorsqu'il était question de tué, pourquoi en faire de toute manière?

Après ces petites escarmouches isolés, nous nous sommes arrêtés quelques minutes dans un batîment en ruine pour nous reposer et reprendre notre souffle. J'ai aussi eu une bref discution avec les membres de mon équipe: Hora et Bero. Je n'avais pas eu l'occasion de leur parler, ce qui me semblait toute fois essentiel. J'ai commencé par leur demandé:

- Qu'elles étaient vos anciennes affectations avant votre passage dans la vérité?

Il y eu un petit moment de silence entre nous, ne laissant entendre que les coups de feu environnant. Bero prit la parole en disant tout simplement:

- Nous étions membre de la SpaceOps, nous nous connaissons depuis notre tendre enfance...

Voilà qui ne me surpris guère. Leur facon de tuer était tel que la mienne: rapide et puissante, la facon des soldats des forces spéciales. L'élite de l'armée de ces saletés de prophètes dont j'avais eu d'une certaine facon la chance de faire partie. La conversation pris alors fin ,mais Bero et Hora continuèrent de parler entre eux. Ces deux-là étaient donc sûrement inséparable. ''Une raison de plus pour faire le maximum pour les garder en vie'' me vint soudain en tête.

Nous avons donc continué, puis nous avons alors pu constaté une scène assez bizarre. Un haut gradé, le commandant d'un vaisseau sûrement, prenait en otage un petit grunt qui semblait appartenir à notre enclave du mouvement hérétique. Puis, des humains arrivèrent et tout devint encore plus bizarre.

(HRPG: J'ai laisser assez flou la fin pour rendre plus acessible un changement de la part de Freeman)

- 1 ère classe Jenkins, lancez une grenade sur ce groupe de grognards planqué derrière ce terre-plein! Lene snipe moi l'Elite rouge au fusil à concussion avant qu'ont soit tous cuits! les autres maintenez la pression sur la masse ennemie en face! mon regard balayât l'intérieur de la soute arrière du Pélican entre deux séries d'ordres j'espérai trouver un certaine chose utile, et merde il n'y a pas un lance roquette la dedans par hasard?
- non chef mais il reste un lance grenades M319 avec un ceinturon de 10 grenades si vous êtes preneur.

J'arrachai l'arme des mains du marine sans répondre, enfila le ceinturon à la taille puis inséra une grenade dans le canon du M319. Notre situation était vraiment peu enviable, le Pélican écrasé avait attiré tout les Covenants du secteur , surarmés, ces saletés entouraient la fontaine en canardant avec leur armes plasma qui transformaient l'épave en passoire. Le seul point positif dans tout ça ce trouvait que la plupart des ennemis étaient des grognards, peu d'Élites ce trouvaient là mais leur config d'armure les désignaient comme 'Ultra', trois si je devais les compter, bien suffisant pour nous envoyer dans l'au delà avec leur fusils à concussion.

Alors que la mire du lance grenade s'alignait pile sur la position de l'Ultra qui faisait face à la trappe de queue du Pélican un groupe de snipers apparu sur le toit d'un bâtiment à l'ouest de notre épave, un autre contingent largué par un Pélican plus chanceux que nous et qui eu un effet salvateur. Les Ultra furent transpercés presque simultanément par les balles à tête blindées des fusils S99AM de ces marines qui vinrent à bout de nos oppresseur avec une précision mortelle. Les grognard restant quand à eux furent confiés à nos fusils, des cibles faciles en pleine débâcle et dépourvus de figure de commandement...

Une grenade de 40 mm s'encastra dans la combinaison dorsale d'un grognard en fuite puis explosa, libérant un panache de shrapnel létal pour ces quatre confrères proches qui furent projetés en cercle autour de l'explosion. Je m'empressai de recharger le lance grenade pour m'occuper rapidement d'un autre groupe de grognard qui couvraient la fuite de leur camarades avec des canons à combustibles, je pris une respiration profonde puis pressa la détente, le projectile siffla avant de tomber au milieu des six petits Aliens qui tentèrent de sauver leur peau en sautant à plat ventre, deux réussirent leur coup...avant de ce faire achever par les fusils d'assauts des marines.

- je crois que c'était les derniers capitaine, on fait quoi maintenant?
- vous me collez au train! j'entends un combat assez proche, restez au aguets car je n'ai aucune idée de ce qu'ont trouvera la bas!

Notre petit groupe suivait d'un pas leste le bruit des armes Covenants qui ce faisait de plus en plus proche, j'aurais aimé pouvoir dénombrer les effectifs croisant le fer pour ne pas tomber sur une poche de résistance Covenant supérieure à nos capacités actuelles mais il fallait faire avec, la couardise ne faisait point partie de la famille Thermidor!!! Je leva le poing au coin d'un petit bâtiment pour faire signe à tout le monde de stopper la marche, de l'autre coté de cet angle ce trouvait l'ennemi, je pouvais l'entendre de vive voix, cela ressemblait à un avertissement.

Je demandais au soldat Jenkins de me donner un des morceaux de verre qui jonchaient près de lui puis le frotta pour ôter la poussière pour observer l'autre coté à couvert grâce aux reflets. Je pouvais voir un Zealot apparemment important pour les têtes de poulpes tenir un grognard en otage, que ce passe t-il ici? quoique puisse être la demande de l'Élite celle ci fut rejetée par un sniper qui lui logea une balle qui ne lui laissa aucune lanche, puis une autre traversa le grognard et termina sa course mortelle sur l'autre Elite. Un tir parfait qui me laissa encore sous le choc. Nous surgirent de notre cachette et suivirent le soldat qui commençait à quitter les lieux d'un pas rapide. Je tentais alors de l'appeler, peut être pouvions nous l'aider.

- Hey! attendez, on peut aider peut être?

Pour plus d'informations sur l'arrivée des Scarabs : http://halofight.fr/t3292-partie-2-de-la-tempete-attaque-des-scarabs-covenants-du-vent-de-triomphe-et-spartans


- Ici le SPARTAN Zéro-Neuf-Quatre. Alerte à toutes les forces du CSNU présentes dans le secteur ! Un Scarab se dirige vers vous. Si vous n'avez aucun moyen pour vous en débarrasser, repliez-vous !

- Ici le Capitaine Johnson du CSNU Fire Bird. L'évacuation urbaine est terminée. L'évacuation rurale des environs également. Nous pouvons battre en retraite.

- Ici le Capitaine Aronson du CSNU Gédéon. Signatures d'approche de plusieurs vaisseaux de combats Covenants repérées à la périphérie du système. Ils ont appelé des renforts ! Nous devons immédiatement quitter Eridanus avant qu'ils ne nous tombent dessus.

- Ici le Contre-Amiral Warren Tyles. J'ai avec moi une dizaine de vaisseaux en orbite qui vous attendent quitter les lieux. Pouvez-vous me dire où en est l'évacuation ?

- L'évacuation des civils est terminée, Amiral, mais nos forces militaires ne se sont pas encore repliées.

- Et bien dépêchez-vous, Capitaine, il y a une flotte Covenante qui approche. Nous ne pourrons pas les retenir longtemps.

- Ici le Lieutenant-Colonel Cameron Heich de l'ONI. L'évacuation des forces militaires risque de poser problème : un Scarab nous tombe dessus !

- Capitaine Aronson à Lieutenant-Colonel Heich, rapport !

- Le chef Covenant a été abattu, ses troupes se replient.

- Faites-en autant !