Pièce N°206. [PV]

Je suis le Capitaine de vaisseau John Mofate, et j'étais solidement attacher. Je vis un ou une élite car chez eux c'était difficile voir impossible a faire la différence, entré dans la salle blanche. Je clignais des yeux car cette luminosité était fatigante. Je fus capturé lors d'un raid sur l'une de nos colonie externe, mon vaisseau était en train d'imploser, nous avions évacué mais je fus capturé. Cela Fait maintenant des heures voir des jours que j'attendais ici enchainer, a la merci de mes ennemis. sans voir la lumière du jour, je perdais peu a peu la notion de temps, rien qu'une heure dans se trou durait une éternité. Et quand mon ennemi rentra dans cette salle je fus presque content mais en voyant l'énorme fouet dans sa main pleine de griffes ( expression a mon père MDR ), je fus tout d'un coup refroidit. Cette créature massive me parla dans le même langage que le mien c'est sur qu'avec leur traducteur intégré a leur casque la communication était plus facile. Elle me disait car je suppose que la pointe de voix féminine était fait exprès.

"Quel bande de sadique" pensais-je

Et au même moment elle me dit :

-"Alors, créature infâme... On se croit supérieur à l'Alliance mmh? Après quelques heures en ma compagnie, ton avis pourrait bien changer..."

Et je lui répondit avec une pointe de défi :

-" Bah détache moi et je te montrerai mes talents de danseur, c'est pas pour dire mais je m'ennuie déjà mais ou ils sont aller vous chercher car je croit que vous avez mal réglé votre traducteur qui a une pointe de voix féminine, vous êtes vraiment des tarlouzes !!! C'est pour sa qu'on est plus fort ! "

J'haussa le ton:

-" N'est-ce pas ? Face de poulpe !"

L'élite me regardait fixement, je sais pas se qu'il ou elle avait en tête mais j'étais sur qu'il ou elle allait me faire la fête.

"Quel garce" pensais-je,

Le coup était sec et violent, j'avais trop de sang dans la bouche ainsi qu'un morceau de dent. Je lui crachat sur ses botes de combat. en espérant qu'elle s'énerve pour quel me dévisse la tête et que puisse mourir rapidement. Mais on dirait que sa ne suffisait pas alors je continuais de la provoquer tout en ayant les larmes aux yeux.

-" Bon, ok t'es pas une tarlouze mais une grosse lesbie qui a eu une enfance difficile et t'es devenu sadique quel triste histoire. Moi si j'étais ton père je t'aurais apprit a frapper plus fort ma poule, mais pour l'instant j'aurais honte de toi !"

Je fis une brève pause pour lui cracher dessus a nouveau.

-" Bon ma poulette quand est-ce qu'on passe au chose sérieuse car la même ma grand-même pourrait frapper plus fort que toi donc arrête tes caresses et frappe moi mais sache que jamais je dirais quoique se soit quel que soit la question."

Le coup qu'elle m'avait donner me faisait affreusement mal, j'avais l'impression qu'elle m'avait fracturé la mâchoire, j'avais de plus en plus de larmes mais j'essayais de n'en faire tombées aucune, je serrais les fesses et j'attendis sa réaction.

" Bon sang, elle a du caractère la Marie-Jeanne " pensais-je.

En même temps c'était un monde de brute chez eux, je m'efforçais a garder un sourire qui ressemblait plus a une grimace de douleur.

-" Je vois que tu as apprit l'anatomie humaine, vous êtes moins stupide que vous avez l'air j'ajoute que ...."

Tout d'un coup je vomis, je ressentais un profond malaise, ma tête tourna, je me sentis faiblir puis se fut le trou noir je tomba dans les pommes

Les coups qu'elle ma donnés m'avait ouvert tout le dos. A chaque fois que mes muscles dorsaux bougeaient une atroce douleur parcourra tout mon corps comme si on m'envoyait une décharge électrique quasi mortelle. Je me suis engagé dans la Navy pour les combattre finalement je me fais torturer par eux. Enfin elle arrêta et retourna s'assoir dans son espèce de chaise et l'autre élite se leva un bar d'un métal qui m'étais inconnu. La bar en question était rougeoyante se qui signifiait que cette face de poulpe allait me grillé pour me faire cicatriser. Quel bande d'ordure, alors qu'elle était sur le point de s'assoir tout en la fixant je lui dit d'un air ironique.

-" Tu te rassoie déjà mais quel féniasse."

L'autre élite a la bar de faire se rapprocha plus rapidement et me colla sa bar sur mes plaies. Je n'ai rien sentis au début mais dès que l'odeur de chaire brulée commençais a monté une douleur insupportable me fis crier de toute mes forces. Mon cri fut tellement fort que je vis ma geôlière sursauté, peut-être avait-elle été surprise par une plainte aussi douloureuse. Les larmes au yeux l'élite retira sa bar et je continuais de pleurer comme un gamin de rage et de douleur je ne pus m'empêcher de leur gueulé dessus.

-" Bande de pourri, vous dite que vous servez un Dieu mais est-ce qu'un Dieu autoriserait une telle torture sur un être vivant ? Bande de monstre vous allez tous aller en enfer !!!!!! Bande de ...."

Je n'eus pas le temps de continuer ma phrase que l'élite appuya avec force sur mon pauvre dos maculé de sang. Cette fois-ci un voile noir recouvrait peu a peu mes yeux. Es-ce la fin me demandais-je. Mais non mon cœur continuait de battre, je pleurais de désespoir pour la première fois de ma courte vie je souhaitais mourir malgré ma peur de l'au delà. Je me rappelais des prières que j'avais appris quand j'étais enfant. En dernière espoir j'invoquais Dieu dans mes prières pour qu'il puise me sauver ou que je puisse le rejoindre sans plus souffrir. Ma geôlière me regarda avec un air perplexe, elle ne devait pas croire que je priais un Dieu quelconque même si c'était un Dieu Humain.

Je n'arrivais pas a y croire, elle était vraiment jalouse je souriais enfin première victoire. Et maintenant détacher, je la poussa puis je couru aussi vite que possible vers la porte. J'appuyais sur tout les boutons comme un démon mais rien y faire la porte était belle et bien verrouillé. Je n'y connaissais rien au technologie ni a l'écriture covenant, j'étais a nouveau désespéré et condamné. Mais cette fois-ci je ne me rendrais pas sans combattre. Elle m'observa se demandant se que j'allais faire, elle souriait car je n'ai pus m'échapper quel garce encore une fois. Je m'approchais de l'autre élite au sol encore sonné, je pris sa bar de fer encore flamboyante. L'heure de la revanche a sonné, j'enfonçais de toute mes dernières force cette outils dans la nuque de l'élite "soigneur". Il poussa une hurlement strident, du sang violet noir coulait a flot sur le sol, il se vida et fini par mourir. Je lui crachas dessus en lui hurlant.

-" CREVE ENFOIREEEEEE !!!!!!!!!"

Je criais comme un fou heureux d'avoir tué un de mes ennemis. Maintenant elle était sur ses gardes mais je m'approchais lentement d'elle. La bar me brula légèrement les mains mais ça m'étais égale maintenant.

-" Alors la Lesbie tu veux danser un pti peu avec moi ? Là je suis chaud bouillant pour toi rien que pour toi sale sadique. APPROCHE !!!!"

Je glissais dans mon propre sang, en rampant devant mon ennemi, j'étais impuissant. Ma vu se brouillais, j'avais du mal a rester éveillé. J'avais froid, de plus en plus froid, je ressentais de moins en moins mes membres. Ma geôlière me prit par les cheveux, sa par contre je l'avais sentit. Ma joue était placé sur sa botte et je ne bougeais plus, faible j'étais si faible, je vis petit a petit quelque scène de mon enfance ou mon père m'avait dit avant qu'il disparaisse.

" Mon fils, si tu doit mourir un jour, meurt en soldat, c'est-à-dire en périssant en utilisant toute ta rage contre ton ennemi et la tu aura une mort glorieuse."

Je fit l'effort de me mettre a genou, ma vu se troubla encore plus j'eus un malaise profond, une sorte de nausée accompagné d'un vertige d'une amplitude que je n'avais jamais connut. J'empoignais le couteau planté dans ma chaire et je tira sèchement sur ce morceau de métal taillé pour tuer. Un filé de sang gicla de ma main, la force me manquais puis je retombas au sol, exténuer. A peine 10 seconde plus tard je sentis quelque chose me soulever, j'étais sur une table je croit, j'étais vaguement conscient, je finis par m'endormir.

Je ne sais pas se qu'il c'est passer mais j'étais de nouveau ligoter, je regardais autour de moi et c'est avec horreur que je constatas que j'étais a nouveau en salle de torture. On m'avait sauver des griffes de la mort. J'avais des pansement de partout je ressemblais drôlement a une momie, en plus j'étais toujours pâle, se qui accentua plus mon effet momie. La mort me guettait-elle encore ? Je ne le savais pas mais tout se que je sais c'est que ma geôlière était a nouveau en face de moi. Si elle commence a me torturer maintenant je ne passerai pas la nuit sa j'en suis sûr. Elle me regarda, dégouter de mon espèce et sans doute de ma "fragilité", elle croyait que je dormais. Je sais pas comment j'ai fait mais j'ai trouver la force de dire encore des âneries.

-" Alors on veut pas me laisser mourir en paix ? Si vous êtes si incapable de me tuer prenez votre pistolet a plasma et encore je doute que vous arriviez a viser correctement. Je plein vos compagnies d'assurance quand elles déposent leurs bilan."

Ma Geôlière semblait s'ennuyer un peu et depuis le début elle m'avait torturé sans me poser de question mais se qu'elle ne sait pas c'est que je trahirai jamais ma patrie.

-" Vous m'avez tant torturé pour rien car pour l'instant vous ne m'avez posé aucune question. En principe il faut poser des questions avant de torturer."

Je ne savais pas pourquoi mais elle semblait douce presque humaine a sa façon de parler mais elle restait une élite qui était brute cruel et sadique.

Cela faisait des heures quel me fixait, je lui parlais mais elle ne répondait jamais. Son regard était si fixe si intense qu'il aurait pu traverser mon vaisseau de part en part. Mais je continuais a lui parler bêtement pour passer le temps.

-" [...] c'est la première fois que ma mère me passait un tel savon, c'était a mourir de rire a force de faire des conneries elle m'a mit a la porte sa par contre c'était moins drôle [....]"

3 heure plus tard ....

-" Mais le pire c'était ma première relation sexuel avec ma deuxième copine qui elle était chaude bouillante et putain ça été un tremblement de terre d'après ma mère elle devait être parti voir son frère mais elle était revenu en douce et la ma cop l'avait prit mal {....]"

Toujours en train de parler comme un moulin a vent John commençant a ennuyer sérieusement l'élite qui montra des tic d'énervement.

-" [......] Mais le mieux a l'école naval avec les potes on se faisait un paint ball toute les semaine roh les délire qu'on avait, c'était trop énorme, surtout quand on recevait de nouvelle arme comme le lance grenade ou le mini gun. Avec ces armes on étaient couvert de bleue mais c'était énorme [.......] Et encore le mieux c'est [........]"

Sa faisait 7 heure que je parlais sans m'arrêter c'était la première fois que je racontais autant de détails de ma vie et je continuais car sa me détendais.

-" [....] Un jour moi et ma dernière copine avons décidé de prendre un appartement et là ça été cool pendant quelques années des jour d'amusement de caresse de douceur c'était les plus belles année de ma vie [ Blabla bla bla bla bla bla ]"

Toute ma vie repassait dans ma tête c'était merveilleux d'avoir autant de souvenir et donc j'avais a peine fini mes vingt première années de ma vie alors je continuais .....

-" De toute mes copine que j'ai eu, c'est toi la plus garce et sadomasochiste que j'ai jamais rencontrer. Bon alors quand j'allais en boite de nuit avec les copains y'avait toute les péripatéticiennes qui tournaient autour de nous pour nous séduire la c'était marrant a voir mais c'était lourd a la fin .... Tien je le menton qui me démange, es-ce que tu peut me gratter un tout petit peu ? pas trop fort quand même."

Je ne savais pas se qu'elle allait me faire mais je suis sûr que j'allai souffrir. Elle me regarda avec ses yeux vide d'émotion et de compassion.

-" Bon dépêche toi sa me démange nom de diou !!!"

Ma simulation de gratouille avait eu aucun effet mis à part le chiffon qui maintenant m'étouffait a moitié. Se bout de tissus d'une couleur écœurante et d'un gout plus infecte que le pire plat humain qui puissent exister me donna envie de vomir. Je rétractais ma langue pour pouvoir éjecter se foutu chiffon. Je finis par vomir se qui humidifia le tissus et tombait sans effort au sol. Je faillie presque m'étouffer avec les acide de mon estomac, mes boyaux et ma gorge me brulait. Je vomi encore un coup. Ma vu se troubla, déjà que je mangeais pas beaucoup, il fallait que je vomisse le peu de glucose qui me restait. J'étais donc en hypoglycémie, d'abord mes capacités visuelle puis sensoriel et enfin le coma. Ma tête tourna je me sentais faiblir. Les ombres m'envahirent ... Je suis encore vaguement conscient. Les covenants ne savent vraiment pas s'occuper de leurs prisonniers. Je puisais mes dernières force pour dire un dernier mots.

-" Mourrez .... Bande ...."

Et là se fut le trou noir .....